10 Aralık 2007 Pazartesi

La pollinisation et la reproduction des plantes sous-marines

Contrairement à une croyance populaire, la reproduction au moyen de pollen n'est pas limitée aux plantes terrestres. Il existe également des plantes aquatiques qui se reproduisent par cette méthode. La première plante, vivant dans l'océan et qui se reproduit par pollinisation, appelée zostère fut découverte en 1787 par le botaniste Italien Filippo Cavolini.

La raison de la croyance que la pollinisation est limitée aux plantes terrestres était que les grains de pollen des plantes terrestres qui entrent en contact avec l'eau se fissurent et cessent de fonctionner.

Des études menées sur les plantes qui se reproduisent par pollinisation dans l'eau ont montré qu'il existe un autre sujet qui prouve que la théorie de l'évolution est invalide.

Les plantes qui dispersent leur pollen dans l'eau se retrouvent dans 31 groupes dans 11 familles différentes, et dans des lieux très différents, du nord de la Suède au sud de l'Argentine, de 40 mètres sous le niveau de la mer à 4.800 mètres de hauteur dans le lac Titicaca dans les montagnes des Andes. D'un point de vue écologique, elles vivent dans des conditions très différentes, depuis les forêts tropicales pluvieuses jusqu'aux mares saisonnières des déserts.

Les difficultés des évolutionnistes sur ce sujet proviennent de la théorie de l'évolution elle-même, selon laquelle, la pollinisation était une méthode de reproduction qui commença à être utilisée par les plantes après qu'elles aient commencé à vivre sur terre. Cependant, on connaît des plantes aquatiques qui utilisent cette méthode. Pour cette raison, les évolutionnistes ont nommé ces plantes des "plantes à fleurs qui sont retournées dans l'eau". Encore une fois, les évolutionnistes sont incapables de donner la moindre explication logique et scientifique sur le moment où les plantes sont retournées dans l'eau, les raisons qui les ont forcés à le faire, comment elles sont retournées dans l'eau, ou quelle forme avaient les espèces intermédiaires.